Gonadotropin releasing hormone (GnRH) and gonadotropin (GtH) variations around the spawning period in a wild population of roach (Rutilus rutilus) from Leman lake. II - The male

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Abstract
As in the female (Breton et al., 1988), plasma gonadotropin levels (GtH) in male roach were always the lowest the day of aggregation on the spawning areas, eventhough they were elevated 3 days earlier. The levels increased during spawning and remained at a high level in most of the animals captured out of the visible spwaning areas, 3 weeks after the beginning of the spawning activity. During the same period the GnRH contents did not significantly vary in the hypothalamic lobes, the di-met-and myelencephalon. On the contrary there were marked variations in the pituitary gland and the telencephalon in which the GnRH levels were the highest the day of aggregation when GtH plasma levels were the lowest. In these two structures they decreased during spawning in correlation with the increase of the plasma GtH levels. These results are discussed in comparison with those obtained in the female and in relation with the possible endocrine and paracrine roles of the GnRH in these structures and mainly in the telencephalon. Comme chez la femelle (Breton et al., 1988, les niveaux de gonadotropine (GtH) plasmatique sont toujours les plus faibles le jour du rassemblement sur les frayères alors qu'ils étaient encore élevés 3 jours avant. Ils augmentent et sont élevés pendant le frai et le restent chez la plupart des animaux capturés hors des zones visibles de frai, 3 semaines après le début de celle-ci. Au cours de la période étudiée, les contenus en GnRH ne varient pas significativement dans l'hypothalamus, le di, le met et le myélencéphale. Par contre, on constate d'importantes modifications dans l'hypophyse et le téléencéphale dans lesquels le GnRH est le plus élevé le jour de l'aggrégation quand la GtH plasmatique est au contraire la plus faible. Dans ces deux structures, ils décroissent pendant le frai corrélativement à l'augmentation des niveaux de GtH plasmatique. Ces résultats sont discutés, en comparaison avec ceux obtenus chez la femelle, par rapport aux relations GtH-GnRH et aux rôles possibles endocrines et paracrines du GnRH de ces structures et plus spécialement du téléencéphale.

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