A comparison of T4 and T7 dermatomal levels of analgesia for caesarean section using the lumbar epidural technique

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Abstract
We compared analgesia to the T4 dermatomal level with analgesia to the T7 level with and without prophylactic intramuscular administration of ephedrine 25 mg to determine the adequacy and side effects of such analgesia for caesarean section. Unmedicated patients were prehydrated (727 ± 303 ml of saline solution) and kept in a left lateral tilt position. Sufficient three per cent chloroprocaine was given to obtain analgesia to the T7 (T6-T8) dermatomal level (455 ± 128 mg) or to the T4 (T3-T5) dermatomal level (758 ± 168 mg). Patients who received analgesia to the higher level required less narcotic than those who received analgesia to the lower level (21 per cent versus 48 per cent) (p < 0.05). The incidence of hypotension in patients with analgesia at the T4 level was 21 per cent for those receiving ephedrine and 64 per cent for those who did not receive ephedrine (p < 0.05). Intramuscular administration of ephedrine 25 mg was not associated with increased plasma levels of norepinephrine, epinephrine or dopamine. There was no difference in Apgar score, behavioural test scores, neonatal acid-base status or oxygenation in children of mothers in the different groups. We conclude that a T4 dermatomal level of analgesia, combined with intramuscular administration of ephedrine 25 mg, provides more maternal comfort than a T7 level of analgesia does, with or without ephedrine, and is without significant maternal or foetal side effects. On a comparé l’analgésie épidurale remontant à D4 à l’analgésie à D7 (avec ou sans administration intramusculaire prophylactique d’éphédrine 25 mg) pour évaluer l’efficacité et les effets secondaires de la technique lors de césariennes. Des patients qui n’avaient pas été prémédiquées ont été d’abord hydratées (solution physiologique 727 ± 303ml) et maintenues en position latérale gauche inclinée. De la chloroprocaïne 3 pour cent a été administrée en quantité suffisante pour atteindre D7 (455 ± 128mg)ouD4(758 ± 163 mg). Les patientes dont le niveau analgésique était le plus élevé ont eu besoin de moins de narcotiques que celles dont le niveau était plus bas (21 pour cent contre 48 pour cent) (p < 0.05). L’incidence d’hypotension chez les patientes analgésiées jusqu’à D4 a été de 21 pour cent pour celles qui avaient reçu de l’éphédrine et de 64 pour celles qui n’en avaient pas reçu (p < 0.05). L’administration intramusculaire d’éphédrine 25 mg n’a pas produit d’élévation des taux plasmatiques de norépinéphrine, d’épinéphrine ou de dopamine. Le score d’Apgar, les tests comportementaux, l’équilibre acido- basique ou l’oxygénation ont été identiques chez les mères des différents groupes. Les auteurs concluent qu’une analgésie au niveau D4 avec une injection intramusculaire d’éphédrine 25 mg procure plus de comfort à la mère qu’au niveau D7 avec ou sans éphédrine et que cette analgésie ne présente pas d’effets secondaires significatifs pour la mère et pour le nouveau-né.