Abstract
1. Les répartitions de la fréquence asymétriques biologiques sont transformables dans une répartition symétrique log-normale par la formule log (→ + constante) où J veut dire dB absolus. Médian et toute probabilité pour cent de la variation peuvent ětre appris du réseau de la probabilité (Daeves et Beckel). Le moins arithmétique et la déviation moyenne quadratique n'offrent pas une vraie impression du seuil d'ouie d'une population. 2. On sort de la supposition que la progression physiologique d'aˇge s'effectue par une certaine conformité aux lois. Basant sur notre état de transcision la diminution acoustique commence à la quatriéme dizaine d'années. Le seuil d'ouie ne tombe pas de façon linéaire dans les décades suivantes. La hypacusis accroit dans une ligne géométrique typique pour l'altitude du ton et très probablement spécifique pour la génération. 3. II y des passages coulants de la diminution de l'ouie physiologique à la presbyacusis prononcée. Mais on peut différer statistiquement ces deux groupes. Nous sommes capable de concluire de la forme d'évolution des deuxième collectives aux réglementations du développement de la presbyacusis typique. Nos recherches preuvent que celle-ci est caractérisée par un audiogramme plus ou moins en chěte—plus plat chez les femmes que chez les homines. La diminution de l'ouie physiologique aussi bien que la presbyacusis typique ne dépend seulement de l'altitude des tons et de l'aˇge, mais aussi du sexe et de la génération. Pour la première on suppose comme raison essential une diminution des cellules ganglioniques résultant d'une charge fonctionnelle surmontée, tandis qu'une symptomatique audiologique centrale, en particulier des examinations de l'ouie de langue avec contenu d'information réduit prouve la presbyacusis comme vraies biomorphoses à cause de l'aˇge.

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