Abstract
On revient ici au cas précédemment exposé d'un jeune garçon victime d'un choc grave. Le premier rapport décrivait les concepts du choc émotionnel et de la névrose traumatique et interprétait le cas par rapport à ces concepts. Le second rapport, qui s'ajoute au premier, réévalue le cas et relève une importante dynamique familiale contributive. Il conclut que l'importance du concept de la névrose traumatique, qui insiste sur le monde intérieur de l'enfant, doit laisser le diagnosticien toujours conscient du monde intérieur des parents et de la dynamique de la vie familiale.

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