Abstract
L’auteur relate le Gwich’in Language and Cultural Project, entamé en 1987 par la tribu Teetl’it Gwich’in de Fort McPherson dans les Territoires du Nord-Ouest, de concert avec l’Arctic Institute of North America de l’Université de Calgary et le ministère de l’Education du gouvernement des Territoires du Nord-Ouest. Dès ses débuts, ce projet impliquait le recours à une méthodologie de recherche action participante appuyée d’une dynamique de groupe et d’une approche féministe de l’organisation et de la coordination. Cet article constitue une étude des étapes de ce projet qui finalement soutient la littérature sur la recherche action participante, en rejoignant les modèles de Tax (1988) et Hall (1988).

This publication has 2 references indexed in Scilit: