Management of metastatic breast cancer

Abstract
Systemic treatment almost certainly prolongs the median survival of women with metastatic breast cancer, and it may prolong the survival of a small number of patients substantially. Even with conventional therapy, 10% or more patients may live into the second decade after recurrence. However, the disease cannot be eradicated, and the primary goal of treatment remains palliation and improvement of the quality of life. Because of the great variability in the pattern and course of the disease from one patient to another, therapy should be selected judiciously to maximize response and minimize toxicity. In some clinical situations, such as pathologic fractures and brain metastases, local therapies alone, such as surgery or irradiation, are the treatments of choice. Patients who will respond to endocrine therapy are well defined, and all patients with the characteristics of an endocrine responder deserve a chance at palliation with this modality alone because of its limited toxicity. A number of new forms of endocrine therapy with more specific targets at estrogen and progesterone receptor sites are now in clinical trials. When used appropriately, chemotherapy significantly improves patient quality of life despite its toxicity. No drug combinations, schedules, or doses have been shown to prolong survival or provide better net palliation than classic CMF (oral cyclophosphamide with intravenous methotrexate and 5-fluorouracil) or CAF (intravenous cyclophosphamide, doxorubicin, and 5-fluorouracil). Treatment with these combinations in excess of 6 to 9 months provides only marginal additional benefits and no survival advantage. The role of high dose chemotherapy with autologous bone marrow transplantation remains a promising area of investigation, but the available survival data are entirely compatible with the possibility that this modality will eventually prove inferior to conventional therapy. Many new cytotoxic agents with unique mechanisms of action are currently under investigation, including taxol, taxotere, Topotecan, and amonafide. Taxol may be the most promising therapy now available for patients whose disease has become refractory to doxorubicin. Biologic therapies using monoclonal antibodies against a specific oncogene or its product have entered clinical trials, and novel drug delivery systems using liposomes are under evaluation. Le traitement par voie systémique prolonge la survie médiane des patientes ayant un cancer métastatique du sein et peut également prolonger, sans doute, la survie d'un petit nombre d'autres patientes quel que soit le dégréé de sévérité de la maladie. Même avec une thérapeutique conventionnelle, 10% ou plus des patientes peuvent espérer survivre plus de 10 ans après leur récidive. La maladie ne peut, dans ce cas cependant, être enrayée et le but de la thérapeutique restera palliatif et d'améliorer la qualité de vie. En raison de la grande variabilité du type et de l'évolutivité de la maladie d'une patiente à l'autre, chaque protocole thérapeutique se doit d'être élaboré de façon à maximaliser la réponse tout en minimisant la toxicité. Dans certaines situations cliniques, telles les fractures pathologiques ou les métastases cérébrales, les thérapeutiques locales, telles la chirurgie ou l'irradiation, sont de modalités thérapeutiques de choix. On connaît aussi une catégorie de patientes qui répondent bien au traitement hormonal, qui devraient toutes être traitées par cette modalité étant donnée le peu de toxicité. Un certain nombre de ces traitements hormonaux sont actuellement l'objet d'essais thérapeutiques. Utilisée judicieusement la chimiothérapie améliore de façon significative la qualité de vie, et ce souvent, malgré sa toxicité. Aucune combinaison de médicaments ni de régimes ou de doses ne se sont montrés plus efficaces pour prolonger la survie ou améliorer le confort mieux que la classique association CMF (cyclophosphamide per os, methotrexate et 5-Fluorouracil par voie intraveineuse) ou la CAF (cyclophosphamide, doxorubicine, 5-fluorouracil par voie intraveineuse). Un traitement par ces combinaisons pendant plus de 6–9 mois n'apporte guère d'avantages, sans prolonger la survie pour autant. Le rôle de la chimiothérapie à hautes doses combinée avec la greffe de moelle osseuse était une voie prometteuse mais pour le moment, il semble exister de preuves en faveur de son infériorìté par rapport aux traitements conventionnels. D'autres nouvelles substances cytotoxiques, faisant intervenir d'uniques mécanismes d'actions, sont actuellement en cours d'évaluation. Ces nouveaux médicaments comprennent le taxol, le taxotère, le Topotécane, et l'amonafide. Le taxol est probablement celuì qui a le plus d'intérêt, semble-t'il, e cas de résistance à la doxorubicine. Des traitements biologiques, utilisant des anticorps spécifiques dirigés contre tel on tel oncogèn ou son produit, ainsi que de nouveaux systèmes d'apport des médicaments sont également au stade d'évaluation clinique. El tratamiento sistémico casi ciertamente prolonga la supervivencia media de las mujeres con cáncer mamario metastásico y logra prolongar la sobrevida de un muy pequeño número de pacientes en forma muy sustancial. Aún con terapia convencional, 10% o más de las pacientes sobreviven hasta la segunda década después de una recurrencia. Sin...

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