Abstract
On représente les variations visqueuses par des expressions de la forme : Φ' = λe^(-αt). Le degré de viscosité des éprouvettes dépend des traitements thermiques (trempe, recuit), du vieillissement, etc. Il importe de mettre en évidence, dans l'expression indiquée, quels sont les termes susceptibles de représenter les qualités intrinsèques du métal, d'une part, et le degré de viscosité qu'il peut acquérir, d'autre part. Deux lois de symétrie par rapport au champ coercitif caractérisent le phénomène. Ce sont : 1° la loi quadratique des rapidités [FORMULE]. 2° la loi linéaire des amplitudes [FORMULE]. Dans l'expression générale [FORMULE] la variable est l'induction finale : B∝. Les coefficients K et A sont indépendants du degré de viscosité. Les coefficients λc et αc expriment le degré de viscosité. La variation visqueuse dans le champ coercitif servira de base aux comparaisons ultérieures (amplitude λ, et rapidité αc). Le coefficient K caractéristique du fer électrolytique vaut, en U.E.M. cgs : K = 10^(-9). En diminuant progressivement la section droite de divers anneaux, on trouve que l'amplitude, rapportée à une section droite de 1 cm², est constante. Dans le plan HB, les cycles lent et instantane ne dependent pas de l'etat de division du noyau. C'est seulement la loi de variation entre les deux cycles qui en dépend : la rapidité est liée à la section S par la relation : [FORMULE]. L'auteur insiste sur la nécessité d'opérer sur des éprouvettes dont les propriétés magnétiques ne sont pas altérées par le travail mécanique, faute de quoi les comparaisons n'ont aucun sens

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