Abstract
Nous confrontons les divers mécanismes qui ont été proposés pour rendre compte des levées de dégénérescence en champ nul des niveaux de spin de Mn 2+ et le principe de superposition aux résultats expérimentaux obtenus dans la série cubique AMF3, dans la phase tétragonale de RbCaF3, où le site de l'ion Mn 2+ est très faiblement distordu, et dans les composés quadratiques A2MF4