Abstract
In the 1966–67 London County Council Survey, some 10 000 children were measured twice, on occasions one year apart. Mean single-year velocities were calculated for each successive 6-month period from age centre 5 1/2 to maturity, for height, weight, upper arm and calf circumferences and triceps and subscapular skinfolds. The velocity curves, in which successive points are independently ascertained, were examined for evidence of a mid-growth spurt. In weight and limb circumferences there was a clear increase of velocity occurring from about 6 1/2 to 7 1/2 in girls and from 7 to 8 in boys. From the end of the mid-growth spurt to the beginning of the adolescent spurt, about three years later, weight velocity remained constant, but limb circumference velocities mostly dropped. All or most of these changes in velocity can be accounted for by changes in rate of fat deposition. Girls showed no evidence of a mid-growth spurt in height, but boys had a diminution of deceleration, or relative spurt, from about 6 to about 7. These results could be accounted for if some, but not all, individual children have mid-growth height spurts. Graphs of the single-year actual-increment medians show slight differences from the standard population velocity medians, the actual-increment curves being a little more complicated than the smoothed standards. Bei der London County Council-Untersuchung 1966–67 wurden etwa 10 000 Kinder zweimal im Abstand von einem Jahr gemessen. Die mittleren Jahres-Zuwächse wurden berechnet für alle aufeinander folgenden 6-Monats-Perioden von der Altersklassenmitte 5 1/2 bis zur Reife, für Körperhöhe, Gewicht, Oberarm- und Wadenumfang und Trizeps- und Subskapular-Hautschichtdicke. Die Zuwachskurven, in denen aufeinanderfolgende Punkte unabhängig voneinander ermittelt wurden, wurden auf Hinweise auf einen mittleren Wachstumsschub untersucht. Bei Gewicht und Extremitätenumfängen lag eine klare Erhöhung des Zuwachses von 6 1/2 bis 7 1/2 bei Mädchen und von 7 bis 8 bei Knaben vor. Vom Ende des mittleren Wachstumsschubes bis zum Beginn des puberalen Schubes, etwa 3 Jahre später, blieb der Gewichtszuwachs konstant, die Zuwächse der Extremitätenumfänge nahmen jedoch meist ab. Alle oder die meisten dieser Veränderungen des Zuwachses können auf Veränderungen in der Ziffer der Fettablagerung zurückgeführt werden. Bei den Mädchen fand sich kein Hinweis auf einen mittleren Wachstumsschub bei der Körperhöhe, aber Knaben zeigten eine Verringerung der Dezeleration oder einen relativen Schub von etwa 6 bis etwa 7 Jahre. Diese Ergebnisse können erklärt werden, wenn einige, jedoch nicht alle Kinder einen mittleren Wachstumsschub der Körperhöhe haben. Diagramme der Mediane der tatsächlichen Einjahres-Zuwächse zeigen leichte Unterschiede zu den Zuwachsmedianen der Standardbevölkerung, wobei die Kurven des tatsächlichen Zuwachses etwas komplizierter sind als die geglätteten Standards. Durant l'enque˘te de 1966–67 du Conseil du Comté de Londres, quelque 10 000 enfants ont été mesurés deux fois, à un an de distance. Des vitesses moyennes sur un an ont été calculées pour chaque période successive de 6 mois à partir d'un ăge central de 5,5 ans jusqu'à la maturité, pour la taille, le poids, les périmètres du bras et du mollet et les plis cutanés tricipital et sous-scapulaire. Une poussée à mi-croissance a été recherchée sur les courbes de vitesse, dont les points successifs sont déterminés indépendamment. Pour le poids et les périmètres de membres, il y avait un net accroissement de vitesse survenant entre environ 6 ans et demi et 7 ans et demi chez les filles et entre sept et huit ans chez les garçons. De la fin de la poussée à mi-croissance à la poussée de l'adolescence, environ trois ans plus tard, la vitesse du poids restait constante, mais celles de périmètres de membres tombaient pour la plupart. Tous ou la plupart de ces changements de vitesse peuvent e˘tre expliqués par des changements du taux de dèpôt de graisse. Les filles ne manifestaient pas de poussée à mi-croissance pour la taille, mais les garçons montraient une diminution de la décélération, ou poussée relative, d'environ 6 ans à environ 7 ans. Ces résultats pourraient s'expliquer si certains des enfants, mais pas tous, avaient des poussées de taille à mi-croissance. Les graphiques de médianes de gain effectif sur un an montrent de légères différences par rapport aux normes populationnelles de vitesse, les courbes de gain effectif étant un peu plus compliquées que les normes lissées.