Abstract
Summary: Vegetation change in Queen Elizabeth National Park, W. Uganda between 1970 and 1988 was studied, mainly by comparison of photographs. Regeneration of Acacia spp. is widespread. Thickets dominated by Capparis tomentosa and Dichrostachys cinerea have spread, and their associated herbs are more diverse. Dry scrub forests have continued to decline. Fringes of Vossia cuspidata with shrubs such as Aeschynomene have developed at lake shores. Most of these changes can be attributed to the decline in elephant numbers, but a general reduction in large herbivore biomass may also be important. The possible consequences for tourism are discussed, and the importance of careful experimental design and site marking for long‐term Vegetation monitoring emphasized.Résumé: On a étudié le changement de Végétation au Parc National Queen Elizabeth, à l'ouest de l'Uganda, principalement en comparant des photographies. La régénération d'Acacia spp. est très étendue. Les buissons où dominent Capparis tomentosa et Dichrostrachys cinerea se sont répandus et les herbes qui y sont associées se sont diversifiées. Les foréts de broussailles sèches ont continuéà décliner. Des franges de Vossia cuspidata avec des arbustes tels que Aeschynomene se sont développées au bord du lac. On peut attribuer la plupart de ces changements à la diminution du nombre des éléphants mais la baisse générale de la biomasse des herbivores est aussi importante. On discute des conséquences possibles sur le tourisme et on insiste sur l'importance d'un programme expérimental judicieux et du marquage de sites pour une surveillance continue à long terme de la Végétation.