Abstract
SUMMARY: The historical development of the laboratory evaluation of anticonvulsant drugs was briefly reviewed. Attention was directed to the fact that such evaluation can be approached from several biological levels. The numerous methods which have been employed for the study of antiepileptic drugs were summarized and mention made of their relative value in drug evaluation. The usual method for the determination of minimal neurotoxicity was described and six of the classical assay procedures were reviewed. It was pointed out that no one laboratory test is sufficient to delineate the anticonvulsant potential of a new drug and, therefore, a battery of 4 tests (Maximal Electroshock Seizure test, a.c. Electroshock Seizure Threshold test, Hyponatremic Electroshock Seizure Threshold test, and s.c. Metrazol test) has been employed in our laboratories. It was further emphasized that valuable confirmatory data and preliminary clinical information can be obtained by pre‐clinical testing of promising drugs in psychiatric patients undergoing electroshock seizure therapy. Finally, the predictive value of the battery of four tests was considered and the need for more selective assay procedures emphasized.RÉSUMÉ: Ľévolution historique des méthodes de laboratoire utilisées pour apprécier la valeur des médicaments anticonvulsifs est brièvement passée en revue. Ľattention est attirée sur le fait que cette évaluation peut être abordée à partir de plusieurs niveaux biologi‐ques. Les nombreuses méthodes utilisées pour ľ;étude des médicaments antiépilep‐tiques sont décrites en résumé avec une appréciation de leur valeur relative pour ľ;évaluation des médicaments. La méthode habituellement appliquée pour la détermination de la neurotoxicité minimum ainsi que six des méthodes classiques ďessai sont passées en revue. II est souligné qu'aucun test de laboratoire n'est suffisant à lui seul pour apprécier le pouvoir anticonvulsif ďun médicament; aussi utilisons‐nous, dans nos laboratoires, une batterie de quatre tests (test de la convulsion maximum par électrochoc, test du seuil de convulsion par électrochoc en courant alter‐natif, test du seuil de convulsion par électrochoc sous hyponatrémie et test du métrazol en injection sous‐cutanée). Ľ;accent est, en outre, mis sur le fait que des données de confirmation importantes et des informations cliniques préliminaires peuvent être recueillies par ľessai préclinique de médicaments prometteurs chez des patients psychiatriques soumis à un traitement par électrochoc. Enfin, la valeur de prédiction de notre batterie de quatre tests est appréciée et la nécessité de pouvoir disposer de méthodes ďessai plus sélectives est soulignée.