Abstract
L'analyse des chocs ions-électrons dans un métal fondu comprenant 2 isotopes montre que la section efficace de l'isotope léger est supérieure à celle de l'isotope lourd ; en présence du courant, le premier est donc entraîné par les électrons. Le calcul quantitatif de la ségrégation qui en résulte suppose connus le nombre d'électrons libres dans le métal liquide, la relation entre coefficients de diffusion et de viscosité, et la fréquence moyenne d'oscillation d'un ion, mais il ne fait pas intervenir la masse électronique. Le résultat calculé est environ 2 fois plus faible que ne l'indique la mesure de Nieff et Roth sur le gallium

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