Abstract
La loi de fréquence des gerbes de l'air fournit un moyen simple de calculer l'effet de la température de l'air sur leur numération; les précédentes évaluations du coefficient barométrique souffraient d'une précision insuffisante et surtout incertaine. A 550 m et à 2860 m d'altitude nous avons enregistré un nombre de coïncidences trois et huit fois supérieur à ceux qui avaient conduit aux précédentes évaluations. Nous n'avons pas trouvé de différence dans l'effet barométrique que les compteurs soient écartés de 55 ou de 75 m. Dans le second cas les fluctuations sont anormales et une variation diurne a pu être attribuée avec vraisemblance à un effet astrophysique