Abstract
Le calcul de perturbation permettant d'obtenir les niveaux d'énergie vibrorotationnelle de la molécule CO2 converge mal du fait de la valeur élevée du coefficient k133 du potentiel cubique. Cette convergence peut être améliorée en utilisant des « coordonnées normales effectives » fonctions du nombre quantique v3. Les relations permettant d'exprimer, au second ordre d'approximation, les constantes spectroscopiques de la molécule CO2 symétrique en fonction de ses paramètres moléculaires sont établies dans ce nouveau formalisme