The nature ofTrichophyton persicolorinfection in the bank vole and the interpretation of the results of sampling techniques

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Abstract
The incidence and mode of existence of Trichophyton persicolor has been studied in 65 bank voles (Clethrionomys glareolus); 46% of the animals were infected but clinical lesions were present in only one. It was shown by direct microscopy that T. persicolor can colonize the tail of the bank vole, but though the organism could be cultured from the body the nature of its existence there was not determined. The evidence suggests that the tail of the bank vole (and possibly also of the field vole) is the headquarters of T. persicolor and it is considered that the presence of the fungus on the body is usually in the nature of a contamination or minimal infection. The efficiency of the hairbrush technique used in isolating dermatophytes from live animals in field conditions is compared with that of more thorough methods available in the laboratory. It is shown that although the hairbrush method somewhat underestimates both the incidence and severity of infection, it can yield useful quantitative and qualitative results. On étudie l'incidence et le mode d'existence de Trichophyton persicolor chez les campagnols (Clethrionomys glareolus). Le champignon a été isolé de 46% des animaux, dans un seul cas des lésions ont été observées. On montre par l'examen en microscopie directe que T. persicolor peut coloniser la queue du campagnol mais bien que l'on puisse isoler ce champignon du corps du rongeur, il n'a pas été possible d'y étudier son mode d'existence. L'observation montre que la queue de C. glareolus (et peut-être aussi celle d'une autre espèce de campagnol, Microtus agrestis) est le centre de colonisation de T. persicolor et l'on considère que la présence du champignon sur le corps revêt souvent l'aspect d'une contamination ou d'une infection réduite. On compare l'efficacité de la technique de la brosse à cheveux, utilisée pour isoler des dermatophytes à partir des animaux vivant dans la nature, avec les méthodes plus parfaites qu'on peut employer au laboratoire. Bien que la technique de la brosse à cheveux sous estime un peu l'incidence et la gravité de l'infection—elle donne des résultats qualitatifs et quantitatifs des plus utiles.